J’aimerais ne pas avoir à écrire tout ça.
J’aimerais ne pas avoir à me définir à travers tout ça.
Je regarde un temps que je pourrais passer à ce qui me passionne se perdre à parler de salopards qui croient qu’ils ont un droit sur ton corps puisque tout autour d’eux le leur martèle.
J’entends tous ces réthoriciens masturbatoires me demander de gérer mon viol avec plus d’efforts dans la douceur er la rézon quand il y a 1% de condamnations et que je dois couper mes cheveux pour que les hommes arrêtent de me toucher sans mon consentement.
Je suis épuisée, en colère et épuisée.
Épuisée de vos ignorances, inconsciences, égoïsmes et inerties.